208 – FR – Aude – Investigation « Hansel et Gretel » – Shafik Ben Amar Hypnose Régressive ésotériques
Une investigation, ou enquête psychique, en remote viewing sur « Hansel et Gretel ».
Hansel et Gretel, parfois intitulé Jeannot et Margot, est un conte populaire figurant parmi ceux recueillis par les frères Grimm dans le premier volume des Contes de l’enfance et du foyer
Abandonnés par leurs parents, Margaux et Jeannot sont perdus dans la forêt. Dans ce conte de Grimm, un mystérieux oiseau blanc les guide alors vers une merveilleuse maison composée de pain, de gâteaux et de sucre. Quel bonheur, quelle joie et quel régal !
Un travail collaboratif avec Aude de la Team « L’Encrage dans l’Ether » https://www.youtube.com/@Encrage.Ether.Hypnose
Bon visionnage 😉
Opérateur Télépathique : Aude de la Team « L’Encrage dans l’Ether »
Opérateur Hypnotique : Shafik Ben Amar (Shaff du Shaffmodèle.com)
📫 Pour plus d’informations contactez moi par mail ici: « leshaffmodele@gmail.com »
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Transcription
0:04Bonjour. Bonjour Chafi. Comment tu vas ? Très bien. Et toi ?
0:11Ça va bien. Ça va très très bien. Alors
0:16bah oui oui, c’est plutôt cool. Et toi ? Tout cool, tout bien. C’est cool, tout bien. OK. Alors, tout
0:22est bien. Alors, bah aujourd’hui, on se retrouve pour une nouvelle investigation. Alors bien sûr, tu ne connais pas le
0:29sujet de l’enquête ? Non, absolument pas. D’accord. Aujourd’hui, c’est c’est un
0:36petit peu en marche de ce qu’on fait d’habitude, mais c’est plutôt sympathique. Alors bah dis-moi, dès que tu es prête,
0:42dès que tu es prête, on y va gentiment. Alors la détente
0:50au une douce agréable dente.
0:56Quelque chose de tout doux qui peut se répandre tranquillement dans tout ton être.
1:04Un grand bien-être intérieur. Quand tu détends,
1:10quelle est la première partie de ton corps qui se détend ?
1:16et quelle est la dernière qui est détendue
1:23et tu peux prendre une bonne inspiration.
1:29C’est comme si à chaque inspiration, tu expulsais les tensions du quotidien,
1:37tout ce qui n’a aucune utilité, tout ce qui fait partie
1:44de cette vaste comédie qui est la physicalité.
1:50Et plus tu inspires et plus tu expires, plus tu peux expulser
1:57tout ce qui n’est pas toi. Tu peux ouvrir un portail d’autres fréquences aussi pour que tout ça soit
2:04aspiré en dehors de ton espace.
2:13Ha ! de compter de 10 à 1 et à 1, tu seras au bon endroit, au bon niveau.
2:21Ton niveau pour investiguer.
2:27Tu seras parfaitement à l’aise, confortable dans l’ambiance hypnotique
2:33et dans l’espace éthérique.
2:40Encore une bonne bonne inspiration et c’est merveilleux comme le corps ça se
2:45détend naturellement.
2:53Les chiffres sont comme des paliers et comme les marches d’un escalier, il t’emmènent étape par étape, marche par
3:01marche au bon endroit. Comme si à chaque marche, chaque étape,
3:08tu rentres de plus en plus dans un état un petit peu différent et de plus en plus différent à chaque
3:15instant, chaque étape, tu rentres de plus en plus agréablement
3:21et confortablement dans l’ambiance hypnotique et dans l’espace éthérique.
3:387
3:45Tu peux moduler tes fréquences à l’intérieur.
3:50Juste poser la question c’est quoi la fréquence idéale pour investiguer ?
3:57C’est comme si une partie de toi,
4:04ta partie éthérique commencer à moduler tes fréquences vers une vers des fréquences
4:11très douces et agréables. 6
4:205 et c’est de plus en plus rapide à chaque
4:26palier. 4
4:33Tu rentres de plus en plus facilement et agréablement dans l’ambiance hypnotique et dans l’espace éthérique.
4:51de
4:59et euh [Musique]
5:06comment tu te sens ? Ah très bien. OK.
5:12C’était drôle parce que pendant toute l’ction, j’étais dans mon espace. Et quand tu as dit un
5:17Oui. Pouf, je me suis vu tu sais quoi euh les pieds sur la terre puis j’ai la
5:23tête dans l’espace. C’est drôle. Ah oui, d’accord. Bon, ça c’est positionné.
5:30Positionné pour cette investigation pour démarrer. Alors,
5:36j’aimerais que tu te connectes à tout ce qui a trait à Ansel et Gretel.
5:49En fait, c’est parfois intitulé Jano et Margot. C’est un compte
5:55populaire figurant parmi ceux recueillis par les frères Grim dans le premier
6:00volume des comptes de l’enfance et du foyer.
6:06L’histoire c’est abandonnée par leurs parents. Marco et Chan sont perdus dans la forêt.
6:13Dans ce compte de grimme, un mystérieux oiseau blanc les guide alors vers une
6:18mystérieuse maison composée de pain, de gâteaux et de sucre. Quel bonheur,
6:25quelle joie, quel régal.
6:33C’est faux le contraste entre les mots et les vibrations
6:38dans le subtil. Oui, j’imagine.
6:45Sont comment ces vibrations dans le subtil ? Elles sont assez basses. Hm
6:52hm. Et euh quand tu euh quand tu racontais
6:57l’histoire, je voyais tout ce que tu racontais, mais
7:02comme en noir et blanc, mais encore plus que du noir et blanc, je sais pas comment décrire
7:12je sais pas comment décrire cette cette sensation de couleur là. Comme un noir et blanc mais fluo.
7:20D’accord. OK. Très brillant comme ça. Je sais pas.
7:25Très luisant. H
7:31mais c’est c’est dark
7:37tout le contexte en fait. Tout euh toi quand tu racontais, je voyais la forêt,
7:42je voyais l’oiseau, je voyais la maison. Hm hm.
7:49En fait, ça donne une sensation, tu sais, de quelque chose de gluant.
7:54D’accord.
8:03Quelque chose qui est gluant par certains côtés. Gluant, ça vient de
8:08glu, quelque chose de collant. Il y a quelque chose de collant. Puis
8:13euh il y a le côté euh un peu dégoûtant. Hm
8:18hm. Mais je sens aussi euh j’ai de la peine à trouver le mot euh
8:27quelque chose de pas franc, tu sais. Euh quelque chose qui voudrait te
8:34t’en reb, c’est une intention qui est pas franche. Il y a un mot pour dire ça mais qui me
8:39vient pas là. Caché une intention cachée. Ouais. Euh
8:44mais il y a je sais pas fourbe. Ouais. Voilà. Plus de ce côté là.
8:51Exactement. D’accord. Pour ça raisonne. C’est ça raisonne bien. OK.
9:07J’ai entendu plusieurs fois le mot tromper aussi. Trompris. En fait, c’est marrant parce
9:12que moi je me sens comme dans une lumière
9:18à côté en train de regarder la scène. Hm hm. Mais la lumière qui est autour de moi,
9:24c’est pas pour que je me sente bien. C’est c’est comment on se sent de manière
9:30factice quand on lit l’histoire. D’accord. Quand on euh
9:36Ouais, [Musique] en fait. Ouais, c’est ça. C’est subtil.
9:42Hm hm. Quand tu es l’humain en train de lire l’histoire,
9:47de l’écouter, tu es comme dans cette lumière, tu vois. Je vois que c’est très coloré. Hm
9:53hm. Les pages du livre parce que là, je vois un livre et c’est je vois que c’est très coloré.
10:00Ça donne comme envie coloré, sucré. Oui, comme des sucreries. Oui, c’est en
10:07robé de sucre mais c’est pas forcément c’est ça. OK.
10:14Alors,
10:21si tu vas, tu remontes le temps tranquillement
10:26jusqu’à la première fois, la toute première fois
10:32où ce compte est écrit.
10:39ou raconter
10:45il y a longtemps. Ouais,
10:53c’est une histoire pour les adultes. C’est écrit. Hm hm. C’est un livre.
11:01Est-ce que c’est Oui, excuse-moi, je te laisse pas.
11:10Une histoire pour les adultes. Ouais, je sais pas si c’est Je vois deux livres en fait au départ
11:17comme s’il y avait plusieurs sources pour finir par
11:22une condensation de cette histoire. D’accord. Je vois deux livres. Alors,
11:31un livre à droite et l’autre à gauche. C’est comme s’il y avait un écran qui se
11:37dessinait derrière ces livres. C’est pas tout à fait la même époque.
11:43Ouais,
11:54c’est comme si le livre Ah mais c’est bizarre. Hm
11:59hm. C’est c’est comme si le livre le plus ancien
12:05H l’histoire elle ressemble pas vraiment à la finalité mais il y a la trame est là
12:13on va dire puis plus tard c’est comme si quelqu’un
12:21redécouvre l’histoire c’est pas qu’il a lu le livre et qu’il l’a adapté
12:28d’accord Cor, c’est comme si Ouais. Il la redécouvre, ça veut dire qu’il
12:34tombe sur le livre et il décide d’écrire sa propre version. Non, justement, il décide d’écrire une
12:40version sans avoir connaissance de l’autre. Et
12:46c’est plus tard que ça se mettra ensemble, que ça fera une histoire et qu’on oubliera
12:52la victoire initiale. C’est ça. Mais c’était une histoire pour les adultes.
12:59Comment c’était une histoire sombre ? D’accord.
13:09Je sais pas pourquoi ça me parle comme dugard pour. D’accord. intéressant
13:17qui vient faire là. Mais alors des diapos jettent un œil sur le
13:24projecteur. Quand il y a des diapos, il y a des il y a un projecteur.
13:29J’ai pas compris le début de ta phrase en fait. Regarde le projecteur. Quand on parle de
13:34diapositive, il y a un projecteur, pas la source.
13:40Pourquoi tu diapositif ? parce que tu dis euh c’est pas ce que tu as dit, ça te parle
13:46comme des diapositive là tout de suite. Non, je disais que ça je sais pas pourquoi ça me parlait d’
13:52d’Alan Edgarpa. Ah je sais pas ce qu’il faisait là en fait. D’accord.
13:58Parce que je te parlais du style d’histoire. D’accord. Edgar Alan Po. Très très bien.
14:07Qu’est-ce qu’il fait là ? Pourquoi tu le vois ?
14:16Juste parce que c’est ça me parle son style d’histoire et que ça ça
14:22ressemblait parce qu’en fait je voulais dire c’est comme un livre d’horreur mais ça raisonnait pas avec
14:28euh les films ou je sais pas ça raisonnait pas avec le mot et c’est pour
14:33ça que ça m’a montré euh d’accord Edgar P ce style là de sombre de Là, ça
14:41m’a fait ce parallèle là. D’accord.
14:46Là, tu es en train de nous parler du premier livre ou du deuxème ? Celui qui tous en fait.
14:51Tous. OK. C’est c’est tous qui retrouvent la même fréquence.
14:59D’accord. Est-ce que tu as vu
15:06ceux qui ont écrit le premier livre ou le deuxème livre ?
15:12Ouais, j’ai vu des hommes. Ouais,
15:18mais deux fois. D’accord.
15:25Comment tu vois le premier ? Celui qui écrit le premier livre
15:32plutôt comme un un homme assez âgé. Hm hm.
15:38Euh comme quelqu’un de
15:44de très simple. Hm hm.
15:53Je sais pas, il est assez pâle. Ouais.
16:01Un vieux monsieur tout simple. Hm hm.
16:07Mais il y a des ramifications énergétiques entre lui, l’autre et le
16:14livre tout court. Je t’ai dit avant c’est la même fréquence.
16:19C’est cette fréquence là qui ramifie. OK.
16:27Ramification. Donc des liens énergétiques entre les deux
16:34comme la même entité. Comme la même entité. Donc au final, il
16:39y aurait trois auteurs ou un auteur éthérique, une entité
16:46et les deux personnes qui lui ont servi pour
16:51écrire, peut-être ancrer ses histoires dans la matière. C’est comme si elle a grandi au fil du temps.
16:58D’accord. Quand tu regardes le premier homme,
17:05c’est quoi ses intentions au moment où il l’écrit à lui personnellement ?
17:17C’est pas ce qu’il a dans la tête. C’est pas vraiment son intention.
17:24C’était quoi son intention à lui ? C’est pas ce qu’il a dans la tête. Alors
17:29du coup, il l’écrit. C’est comme pour qu’elle sorte de sa tête. Ah, il sait pas ce qu’il a dans la tête.
17:35Donc il l’écrit pour le sortir. D’accord. Non, il a c’est c’est comme c’est comme
17:41si les mots l’idée elle lui tourne dans la tête. Ouais. Et du coup bah il l’écrit.
17:47D’accord. Mais OK. Mais l’intention ça n’était pas, je sais pas, d’écrire un R,
17:53enfin soit un compte populaire, soit un un film d’horreur. C’est disons qu’il a
17:58un truc dans la tête qui lui trotte et il décide de l’écrire. OK, c’est ça.
18:04OK. Concernant le deuxème,
18:10c’est quoi ses intentions à lui ?
18:15Bah, en fait, lui, c’est un peu pareil. Il a aussi, tu vois, je t’ai dit qu’il avait pas lu l’histoire euh initiale
18:23et c’est pareil et il l’a dans la tête mais c’est encore plus fort.
18:28Hm hm. C’est euh c’est il y a quelque chose qui l’obsède
18:35là-dedans. D’accord. Pareil. Est-ce qu’ Il écrit l’histoire ?
18:41OK. Est-ce que cette histoire
18:46lui a été racontée quand il était plus jeune ? Est-ce qu’il l’a lu quand il était plus jeune ? Est-ce que tu sais
18:54comme un petit peu des graines qui peuvent entrer dans l’esprit à un moment donné, reir un autre moment ?
19:01Non, je sais c’est l’entité qui est derrière. C’est l’entité qui est derrière. Donc le véritable auteur c’est l’entité.
19:07Ouais. Ouais. Vraiment d’accord. Alors,
19:13mais cette entité, elle fait comme un espèce d’égrégore parce que du coup entre le premier livre, le deuxè hm hm
19:20puis tout ce que c’est devenu, toutes les éditions actuelles, tout ce
19:26justement qu’on la graine de l’histoire, tout ça c’est du coup ça fait comment
19:37faire un gros égrégore alors C’est quoi pour toi un égrégore ?
19:46Ben là, moi ce que je perçois c’est comme un c’est comme un gros duage énergétique.
19:54D’accord. Auquel il y a plein plein plein plein plein de
19:59filaments attache à toutes sortes d’énergies.
20:06Et puis ben je vois qu’il y a cette entité première là, elle a comme grossi
20:13pris de l’ampleur. C’est bah elle s’en nourrit quoi. Elle se nourrit de ça. Alors très très
20:19intéressant. Bah la question qui me vient ensuite c’est prends un enfant
20:28qui soit on lui a raconté cette histoire soit il l’a lu.
20:36Regarde comment sont ces énergies avant [Musique]
20:44pendant en fait quand tu m’as dit de prendre un enfant bah du coup j’ai vu je trouvais un enfant à qui on était en train de la
20:50lui lire. Hm hm. Et du coup ce qu’ me demande d’aller avant ben avant il
20:58il était dans dans ses énergies à lui. Je le vois tout seul en train de de
21:03jouer avec ses doigts. D’accord. Il est tout euh
21:09tout lumineux, tout calme, [Musique] vraiment ses propres énergies que si on
21:16était adulte, on aimerait bien pouvoir être dans ces énergies là tout le temps.
21:22Vraiment son énergie d’enfant. Euh ouais. Alors justement,
21:29tu sais que l’être humain apprend parmi métisme. Hm hm. Autorise-toi à goûter ces énergies
21:35et à adapter tes énergies jusqu’à
21:43jusqu’à recréer ces fréquences. Ce que tu me décris, c’est de la joie.
21:49Non, une joie en fait. Ouais, c’est c’est de la joie, du bien. Enfin, mais
21:54quelque chose avec des yeux d’enfant, tu sais. Ouais,
22:00c’est plus pur chez les enfants. Hm.
22:06Alors bien sûr, conserve ton expérience et ta lucidité d’adulte de télépathaché.
22:13C’est juste ton niveau fréquentiel que tu mets au même niveau que celui de cet enfant.
22:19Alors ensuite, on lui lit cette histoire. Qu’est-ce qui se passe pendant qu’on lui lit cette histoire ?
22:27Bah c’est comme si au niveau euh du chakra coronal, ça
22:34ça crée un un petit filament qui va tranquillement se se relier à à
22:41l’égrégor. Hm hm. Et plus l’enfant il est
22:47intéressé, plus il rentre dans l’histoire, plus il vit les émotions.
22:52Hm hm. plus le plus le fil s’épaissit.
22:59D’accord. [Musique]
23:04Et après ça, il y a comme une une forme d’échange
23:11énergétique. Lui, c’est comme si il reçoit de la formation de cet égrégore
23:18par le même biais.
23:23Il y a comme une ça génère une insécurité en lui.
23:30D’accord. Il s’en rend pas compte. Ouais. Il parle, il rigole. Enfin, tu vois. Mais à l’intérieur de lui, ça s’inscrit
23:37comme un petit programme de peur, d’insécurité, de peur. Hm
23:42hm. OK.
23:50Alors là, tu peux prendre un petit peu de hauteur. C’est comme si tu voyais comme
23:57sur un schéma le parcours de vie de cet enfant.
24:04S’il avait pas lu l’histoire,
24:10il y a une couleur disons bleu son parcours. Tu peux voir aussi
24:20son parcours en ayant lu l’histoire. Donc il y a un moment il y a une autre
24:25courbe qui est une autre couleur.
24:32Qu’est-ce que ça crée ce petit programme de peur chez lui en clair ? H sur la
24:39ligne où il a lu l’histoire. Hm hm. Je vois que il y a des cauchemars dans euh il fait
24:45des cauchemar. Hm hm. Il fait pas sur l’autre ligne. Hm hm.
24:51Mais euh ça a l’air d’être un être. Tu as cette lumière que je te disais avant qui
24:57naturelle autour de lui, elle est forte. Elle est elle est
25:02installée à un moment donné sur la ligne où il a lu l’histoire. Hm hm.
25:09Bah ça saute. [Musique] Ça reste pas. Ça reste pas.
25:15Non, je vois ça. En fonction de la de la de la personne, de l’histoire de vie, ça
25:20pourrait rester hein. Hm hm. Mais sur lui là, je vois qu’
25:27en fait quand il tu sais quand il grandit puis qu’il croit plus au compte de fé h
25:33qui croit plus au père Noël qui croit plus à tout ça bah ça ça saute avec.
25:39D’accord. Donc c’est pas quelque chose qui s’inscrit sur la durée pas chez lui.
25:45Pas chez lui. Il y a d’autres personnes chez qui ça pourrait s’inscrire sur la durée ?
25:52Oui, ça pourrait. D’accord. En fait, tu vois l’humain, on est tellement multifactoriel.
25:59Ouais. Ça pourrait euh tu vois ça va dépendre de l’attrait déjà de l’enfant pour
26:06les comptes si c’est une fois comme ça en passant ou si il a un goût pour ça
26:13va déjà différencier. Et puis après ça dépend aussi euh quand
26:19même beaucoup de l’histoire de vie de comment tu es accompagné enfant de comment tu grandis
26:27ça saute ou pas quoi. D’accord. Ça se renforce en fait par différentes expériences. Tu vois si tu
26:33as une vie un peu traumatique, enfin ça va pas aider, on va dire. Puis ça
26:39va se renforcer, ça va faire comme plein d’autres choses partie de d’une
26:45construction plus difficile, plus complexe. Hm. Puis pour d’autres, ben
26:52la vie elle est plutôt agréable, plutôt chouette et puis il y a de la lumière plus puis ça saute.
27:00Comment sont tes fréquences au-delà maintenant ? Euh ça dépend un peu à quoi je me
27:06connecte. D’accord, forcément. Alors dis-moi,
27:12on va alors déjà mets-toi dans des fréquences relativement
27:19hautes et j’aimerais que parce que tu as pensé, c’est pas un anodin tout ce qui arrive à
27:26une bonne raison d’être. Quand on parle d’gar d’Edgar à la peau,
27:32est-ce que par exemple ces créations, ces réalisations pourrait avoir le même
27:37impact chez un de ces lecteurs ou quelque chose de similaire ?
27:47Donc si observe une de ces œuvres,
27:52alors me connecte tout de suite à celle qui m’a traumatisé moi. Ah bah c’est cool justement.
28:00Tu sais pourquoi c’est cool ? Parce qu’on va les virer. Bah parce qu’on va virer le traumatisme.
28:06Voilà. Alors déjà le moment où lui remonte le temps, le moment où lui
28:12écrit. Ah, il est pas bien non plus. Il est pas bien non plus.
28:18C’est lui qui écrit ou c’est un être qui agit
28:24qui l’inspire ? Non, il est il est il est manipulé. D’accord. Il est manipulé.
28:29Ouais, il est pas libre du tout. OK. Tu vas
28:37remonter cette ligne du temps jusqu’au moment où tu lis cette histoire. Mais regarde les choses de l’extérieur pour
28:43bien voir et comprendre comment ça agit sur toi, sur tes énergies.
28:53En fait, au moment où je lis cette histoire, je suis un peu trop jeune, je crois. Hm
28:58hm. et euh
29:04et ça raisonne avec une peur d’être enfermé parce que c’est
29:11je sais pas en fait je comprends pas euh vraiment l’histoire h que je lis et c’est juste
29:21sur le moment j’arrive pas à voir la globalité de l’histoire et donc reste imprimé en moi où il à un moment donné
29:29une femme et à un autre moment donné un chat qui sont enfermés vivant dans un mur
29:37et ça raisonne avec
29:44je sais pas une peur qui est qui est inscrite en moi dont j’ai même pas conscience.
29:53Alors quand s’il est manipulé, tu le vois l’esprit qu’il manipule pour écrire ?
29:59H c’est quoi l’intention de cet esprit ? Alors, on sait bien évidemment qu’il a envie de se nourrir, mais est-ce qu’il a
30:06pensé à ça ? Au fait que ça pourrait éveiller précisément cette peur chez toi
30:15au moment où il l’écrit ?
30:21Non, pas moi personnellement.
30:27Non, pas toi personnellement, mais je veux dire alors déjà il y a il y a il y a plein de
30:32choses qui me viennent, plein de questions là à ce niveau-là. Mais oui, il y a des intentions au niveau enfin
30:39il connaît le fonctionnement des humains. D’accord.
30:45Est-ce qu’il y a des messages cachés dans cette histoire ? Qu’est-ce qui fait
30:51que même si on comprend pas l’histoire dans sa globalité,
30:58il y a certains de nos centres d’intérêt, de nos peurs, de nos traumas qui sont titillés juste à
31:04ce moment-là, au moment où on lit ce genre d’histoire.
31:09Parce que à la base, tout fonctionne comme ça. Qu’est-ce qui crée de l’engounement ? Parce que là, on parle
31:14de livre d’horreur, mais au final, on peut parler de l’industrie du film d’horreur.
31:19C’est la même. C’est toujours le même système. Non seulement c’est toujours le même système, mais c’est toujours le même
31:25gang d’entité. Ah, c’est un gang. C’est Mais oui, c’est c’est toujours les
31:32mêmes en fait, ils sont trop drôles parce que ils sont trop drôles. Clairement, il y a du reptil là derrière
31:39mais euh il ils se présentent comme des tâches d’ancre.
31:45Hm hm. En fait, tu sais vraiment, tu sais la tâche comme ça
31:51à chaque fois que c’est qu’on parle du du livre là de Gretel qu’on parle de
31:57guerre que là quand tu parles de l’industrie du film maintenant, c’est toujours la même tâche. C’est très
32:04comique quoi. Alors
32:10mais en même temps ça se relie à nos propres peurs. Hm hm. En même temps, ça crée des peurs. Ça
32:17c’est tout bf quoi. D’accord. Et il font ça depuis la nuit des temps.
32:25Ça marche. Alors là, il y a plein de choses qui m
32:31qui j’ai plein d’idées qui me viennent.
32:38Tu vois toi petite fille en train de déclencher cette peur juste à ce
32:45moment-là. Alors la question c’est est-ce qu’on agit maintenant
32:52ou est-ce qu’on agit avant sur le traumatisme originel qui a créé cette
32:58peur en toi au final ? C’est la possibilité d’avoir peur dans ce contexte.
33:04Tu me laisses parler avec ces avec toi petite fille. H h
33:091 2 et 3. Laisse-moi laisse-moi parler avec petite fille juste au moment où
33:16elle lit l’histoire. Bonjour. Bonjour.
33:22Comment tu te sens ? Euh, j’ai peur. Alors, tu veux qu’on joue à un jeu
33:29rigolo ? Euh ouais.
33:35Alors, tu vas ouvrir juste parce que tu le veux et que tu
33:41sais le faire parce que tu es toute puissante, tu vas ouvrir un portail qui donne vers une
33:46dimension d’infiniment haute fréquence. Oui, ça je sais faire.
33:53Tu as vu que tu sais faire ? Et ça aspire toute ta peur.
34:01Ça fait du bien.
34:09C’est compliqué hein. De qu’est-ce qui est compliqué ? Tout quoi ? toute la peur.
34:18Oh bah repasse directement à travers ce portail que tu as ouvert
34:25dans cet espace. Le paysage est merveilleux,
34:31encore mieux qu’un compte de fait. Forcément, dans cet espace, il y a
34:37tellement de hautees fréquences à l’extérieur que toute la peur, elle est aspirée hors de ton corps
34:45instantanément.
34:51D’accord. toutes les croyances dans ton corps mental.
34:58C’est vrai que c’est bien. Elles sont dissoutes. Celles qui sur lequel s’appuie
35:05cette histoire pour générer réveiller un traumatisme,
35:10c’est dissous et c’est remplacé par des croyances plus porteuses
35:16qui te remettent au centre de ta création, ton libre arbitre.
35:24Tu crées encore plus de raisons d’être dans les hautes fréquences et joyeuses.
35:36Tu sais, dans ce monde dans lequel tu vis, il y a plein de gens
35:43qui sont toujours prêts à faire peur aux autres. Ils aiment bien ça, ils s’en défendent,
35:49ils le font pas exprès hein parfois, mais ils vont toujours te raconter des choses
35:54qui font un peu peur. Et c’est comme si à partir de
36:00maintenant, chaque fois qu’il y a quelqu’un qui a ce genre d’attitude aver avec toi, tu te lèves tes fréquences à
36:05l’infini. Avec tout le monde. Avec tout le monde.
36:13La peur, c’est nul à vivre, non ? Oui oui oui oui.
36:19Toi tu peux mettre de la choix encore plus de choix dans ces moments-là.
36:27Oui je peux. D’accord.
36:35Mais avant Oui, [Musique]
36:41dis-moi parce que avant tu as dit que
36:51quel moment où je j’avais peur ? C’était relié à un autre moment.
36:56Justement, c’est le moment où on va aller retourner dans le passé.
37:02Est-ce que c’est dans cette vie ou est-ce que c’est dans une autre le moment où tu as créé le traumatisme qui
37:07est lié à cette peur ? Non, c’est dans une autre. Et ben, on y retourne. 1 2 3, on y est.
37:15Tu étais qui dans cette autre vie ?
37:20Une femme. Ah ! Et qu’est-ce qui s’est passé ?
37:31Je sais pas là. Attends là, je la vois dans
37:38je je la vois dans une maison. Hm hm. Petite maison. Il y a des enfants. Hm
37:46hm. Moi, je suis pas des enfants. Moi, je suis la femme.
37:51Oui. Raconte-moi ce qui s’est passé.
37:57Je sais pas là, c’est tranquille. euh en train de
38:03leur sert à manger. Hm hm. Et ça reste comme figé euh sur cette
38:11scène-là. Ça veut pas avancer. Alors pourquoi ça veut pas avancer ?
38:23Comme si la la femme que j’observe, elle bloque le temps.
38:30Tu me laisses parler avec elle ? Oui. Allez. Elle s’appelle comment cette
38:35femme ? Aurore. Regarde les yeux d’Aurore.
38:42Est-ce que c’est vraiment toi reconstitue son ADN ésotérique et tu
38:47sais comment faire ?
38:53Oui, c’est elle. C’est toi ? Oui.
38:58Allez, laisse-moi, si tu veux bien, laisse-moi parler directement avec Aurore. Coucou Aurore.
39:05Oui. Comment tu vas ? Bah, ça va.
39:13Est-ce que tu sais occuper là ? Tu es occupé à quoi ?
39:19Ben, je m’occupe des enfants. Ouais.
39:25Donc euh voilà, je suis occupée. Alors pourquoi
39:31je suis là ? mes informations.
39:38Ah !
39:53Ah non non non ! Quoi ? Non non non non !
39:59Quoi ? Non ! Non ! À quoi ?
40:07Non. Est-ce que tu peux étofer, raconter, développer ton nom ? Non, tu
40:14dis non à quoi ? À ce que tu veux faire ? Je vais faire quoi ?
40:21Tu veux que je débloque l’image ? Non. Pourquoi ?
40:27Parce que parce que ça n’existe pas.
40:33Ça n’existe pas. Non. Qu’est-ce qui n’existe pas ? [Musique]
40:40Non. Non. Aurore ?
40:45Non. Non mais Aurore, je vais pas en aucune manière te forcer la main. J’ai juste
40:51besoin que tu m’expliques qu’est-ce qui n’existe pas. Si ça existe pas, je t’explique pas.
40:59Aurore, ça existe ou que ça existe pas. Les effets chez
41:06une petite fille sont réelles. Il y a une peur qui est tout à fait réelle et
41:11qui a été titillé par des entités
41:17pour générer de la peur et s’en nourrir.
41:23Et alors ? Bah à cette petite fille, c’est toi dans le futur.
41:32Ouais, mais qu’est-ce qu’on fait de moi maintenant ? Bah, en fait, regarde comment je
41:37travaille et tu vas vite te rendre compte que si tu travailles avec moi,
41:43tout va s’améliorer dans ta vie.
41:52Regarde comment je travaille. à chaque fois que j’ai travaillé avec des clients,
41:57c’est pasin si je suis dans le passé pour te parler. Je suis dans le passé pour te parler
42:03histoire de te donner tous les outils dont tu vas avoir besoin, histoire d’embellir ta vie de façon phénoménale.
42:13J’ai compris. Alors une pensée d’un geste, tu vas
42:18ouvrir un portail vers une dimension d’infiniment haute fréquence.
42:24Cette dimension d’infiniment haute fréquence, elle est tout autour de toi. Elle nettoie totalement ta maison.
42:32Elle nettoie totalement chacun des enfants qui est avec toi.
42:40Dans cet espace d’infiniment haute fréquence, il y a un nettoyage qui se fait dans tout ton être.
42:47Je vais compter jusqu’à 3 et à 3, toutes les peurs seront expulsées littéralement
42:53aspiré de ton corps. Et c’est comme si tout ton corps émotionnel peut commencer à se gorger
43:02d’infiniment haute fréquence de joie, une joie intense, une joie puissante,
43:07phénoménale. Est-ce qu’il y a de la colère ?
43:16Non, il y en a plus. Tout est aspiré. Bah oui.
43:22Et ben c’est encore plus rapide et efficace que je le pensais. Bien bien. Très bien. Observe ton corps mental.
43:31C’est comme si tu voyais que ces dimensions cette dimension d’infiniment haute fréquence, ça commence à dissoudre
43:37certaines croyances, des croyances qui te bloquent dans ton
43:43expérience de vie. dans un certain schéma d’expérience de vie qui potentiellement dans ton
43:51expérience de vie vont générer plus tard des traumatismes, des peurs, des difficultés.
43:59C’est comme si elle était toute dissoute et remplacée par des croyances beaucoup plus porteuses.
44:05Quelque chose qui te place des croyances des programmations qui te placent au centre
44:12de ta créativité, ton pouvoir créateur en pleine possession de ton pouvoir
44:18créateur en parfaite maîtrise de ton libre
44:23arbitre. Tu décides ce que tu veux expérimenter
44:29doren avant et ce que tu ne souhaites plus, ça ne se produit plus jamais.
44:43C’est mieux. Oui, c’est mieux.
44:48D’accord. C’est beaucoup mieux. Tu as vu ? Hm hm. Et tu sais quoi ? Tu veux que je te montre un truc rigolo ?
44:55Ouais. Tu sais créer un passage vers une dimension d’infiniment de fréquence.
45:03Et qu’est-ce qui se passerait si tu créais un océan infini
45:08où chaque goutte d’eau est un passage vers une dimension d’infiniment haute fréquence et connecté aux étoiles les
45:15plus puissantes de ces dimensions. Les basses fréquences n’existent pas.
45:20Ces portails sont fluides comme de l’eau. Ils sont attirés par tous l’épaule de basse fréquence dans ton
45:27espace.
45:32Ils sont fluides et mobiles. Et de 3, tu balances un tsunami dans ta maison,
45:38dans ta ville ou ton village, dans ton pays et tu nettoies toute la planète.
45:47Ça te plaît ? un OK
45:53là maintenant qu’est-ce qui s’est passé ? Qu’est-ce
45:58qui a fait que tu as voulu arrêter le temps ?
46:03C’est parce qu’un un arbre est tombé sur la maison.
46:08D’accord. Sur les enfants.
46:15Et je suis restée là à côté. Ouais.
46:22D’accord. Alors, deux possibilités à partir de maintenant parce que maintenant
46:27je te parle avant que ça arrive. Donc, tu peux prendre les enfants et vous
46:33pouvez sortir. Si c’est suffisamment de temps avant,
46:41tu peux demander à ton mari si tu es marié.
46:48à tes voisins. Est-ce que tu peux demander à quelqu’un de couper cet arbre
46:56avant ? De manière à ce qu’au final, ben tu sais les bûcherons, ils ont le moyen de couper des arbres en le faisant
47:03tomber d’un autre côté. Ce qui fait que ta maison au final bah ira très bien et
47:09l’arbre va tomber ailleurs mais avant avant que ça se produise, avant qu’il ne tombe par ses propres moyens.
47:15Ou alors encore mieux. Et tu sais quoi ? Oui, c’est moi qui décide. Il tombe pas.
47:21Ah, il tombe pas. Enfin, oui, il tombe à côté. OK. E regarde qu’est-ce qu’il a fait tomber l’arbre. Regarde au niveau des
47:28énergies, qu’est-ce qui a fait tomber l’arbre ?
47:33Comme une secousse dans la terre. D’accord. Qu’est-ce qui a créé cette secousse ?
47:45un portail pas loin. D’accord. Figer, verrouillé. Tous ceux qui ont ouvert ce portail, tous ceux qui
47:52participe, qui travaillent avec ceux qui ont ouvert ce portail, ils sont figés, verrouillés
47:58juste devant toi. Toutes leurs technologies, leurs vaisseaux, leur laboratoire, tout ce qui
48:04leur appartient. Ils sont de quelle espèce ?
48:16Et c’est et c’est sous terre. C’est c’est un portail qui mène
48:22l’intérieur de la terre. Plus maintenant. Ils sont plus sous terre. Non non, ils sont là. Mais je te dis ça
48:29allait sous terre. C’est des OK. C’est parce que c’est des espèces de fourmis mais c’est pas des fourmis.
48:37D’accord. Est-ce que tu vois le chef ?
48:44Ouais. Alors, tu ordonnes au chef de se rapprocher.
48:52Mais déjà là, tu mets de la joie dans ta main, une joie intense, une joie puissante et tu lui claques sa gueule maintenant.
49:04En fait, oui, pas il aime pas se prendre des baffes.
49:10Non, mais il y a même pas besoin, il aime pas juste
49:16Je lui fais dégouliner la fréquence dessus. Il aime pas du tout ça. Ah, il aime pas les hautes fréquences. Non, je je l’ai tout, tu sais.
49:25Tu l’as mis dans des fréquences de joie ? OK. Ah ouais, je l’ai enrobé. J’aime pas du tout.
49:30OK. Voilà, tu me laisses parler avec lui.
49:36H il s’appelle comment ?
49:49Je sais pas si c’est comme s’il y a un zu un espace U zu U.
49:59On va l’appeler zut. Tu me laisses parler avec Zut ?
50:04Oui. 1 2 3 Laisse-moi parler avec Zut. Salut Zut.
50:15C’est pas la forme, on dirait. Un peu de ta faute quoi.
50:20Non, moi je pense que c’est un peu de ta faute. Ton petit portail à la con.
50:26Ouh mon petit portail à la con. Et tu sais que moi je suis beaucoup moins gentil que la madame qui t’a mis dans
50:33les hautes fréquences. Moi j’aurais mis beaucoup plus de fréquence et je te les aurais fait manger à coup de claque dans ta gueule.
50:40Est-ce que tu as envie d’expérimenter ma méthode par rapport à la sienne ?
50:47Bon 1 2 3, tu t’en prends une, ça te plaît ?
50:55Est-ce que tu en veux une autre ? ou tu es un petit peu mao toi on dirait.
51:04Tu aimes bien les hautes fréquences ? Non, j’aime pas. Ah bah tu viens de te prendre une baffe
51:10aux hautees fréquen et euh tu souris. C’est bizarre non ?
51:17En vrai, tu aimes bien les hautes fréquences. En vrai, c’est toi. Tu crois quoi ? Tu as trois hautees fréquences là ? Tu
51:23crois quoi ? Tu crois quoi ? Bon, tu as beaucoup de technologie.
51:331 2 3 Chaque fréquentiel c’est annulé.
51:42Je crois que tu as aussi perdu la technologie qui te permettait d’ouvrir des portails.
51:48Est-ce que tu as des vaisseaux spatiaux ? Oui. Plutôt toi que moi, Loulou. Plutôt toi
51:54que moi. Au revoir. E zut. Regarde tes vaisseaux spatiaux,
52:00ils sont beaux tes vaisseaux spatiaux. Pas je t’appelle Zut.
52:05Non, je te au départ je pensais à Bob. Mais Zut, c’est très bien. Ça te va
52:11bien. Non, si si
52:17si, c’est rigolo. Zut. En plus, ça fait Oh Zut, encore lui. Tu sais qui je suis
52:22? Est-ce que tu sais qui je suis, Zut ? [Musique]
52:31Tu m’ Bah
52:36toi, tuinvestis pas trop dans tes services de renseignement, on dirait.
52:44Sinon, tu saurais que le petit énervement tu ressens là, c’est que le début
52:51parce que quand je suis lancé, je n’arrête jamais en règle général.
52:57Tu vois tes jolis vaisseaux spatiaux ? Tous, absolument tous. 1 2 et 3. Choc
53:04fréquentiel. Oups, il y en a plus. Te vois la piéton.
53:10Tu sais faire du stop ? Que tu dis que tu dis que tu dis
53:15que je dis que je dis que je dis et que je fais. Ouais. Là maintenant tu can
53:24non je suis un être énergétique immortel et tout-puissant et je me souviens du
53:30libre arbitre. Tous tes potes
53:37dans le futur m’appelle le croocen.
53:42Futur le passé. Ouais.
53:48Tu sais que je vais pas m’arrêter là. C’est le moment où je hack ton canal
53:54télépathique et que je me connecte à tous les êtres dont tu te nourris. Ah non,
54:00si regarde. Non, non. Allez, regarde, tu as un compteur juste
54:06devant toi. Ça, c’est tout ce dont tu te nourris, toi et ton peuple ou ton
54:12réseau. Regarde ce compteur qui commence à décroître au fur et à mesure où je leur
54:19fais des séances d’hypnose régressive.
54:25Ça décroit. Ça décroit. Non, tu as pas le droit. Non, tu n’as pas le droit de faire ça. Ça décroit.
54:30Non, non. Écoute, non, tuas pas le droit. Je leur montre non
54:35je leur montre deux possibilités. Le futur s’il reste avec toi sur des milliards de vies ou le
54:43futur s’il te dégage de leur espace. À ton avis, qu’est-ce qu’ils choisissent ?
54:48H évidemment. Bah évidemment c’est ce qu’on appelle le consentement
54:53éclairé. Loulou, c’est pas grave, je le rattraperai.
54:59Ça, j’en doute parce que tu sais, je leur apprends tout ce que je sais. Les tsunamis de haute
55:06fréquence, les océans infinis de haute fréquence.
55:12Tu la vois ta planète d’origine ? Regarde ta planète d’origine.
55:19Qu’est-ce qui se passerait si je balançais un ou deux trois de tsunami par là-bas ? Bon, ça changerait pas
55:25grand-chose, hein. C’est-à-dire bah de toute façon,
55:33toute façon quoi ? Elle existe plus, hein. Oh, pourquoi elle existe plus ?
55:39Bah, parce qu’elle a été détruite par qui ?
55:47Par elle a été détruite ?
55:54Quels êtres ont détruit ta planète ? Ah, nous et quelques autres.
56:00Par qui ? Bah nous et quelques autres. C’est qu’il est quelques autres.
56:11C’est qui nous ? Bah, les habitants de la planète.
56:19Pourquoi vous avez détruit votre planète ? bêtises, c’est que je peux retourner dans le
56:25passé et faire que ta planète existe encore si je veux.
56:30Enfin, tu pourrais le faire aussi si tu étais pas un gros nœud suffisant. Pas assez d’énergie.
56:37Pas assez d’énergie. Mais parce que tu te nourris des énergies humaines et pas de et que tu t’appuies pas sur ton libre
56:43arbitre. Le libre arbitre. Zut.
56:49Le libre arbitre. Le libre arbitre, ça définit ce que tu veux expérimenter, ce que tu ne veux pas.
56:56Tu as choisi une vie où tu es limité, où tu as besoin
57:02des humains pour perdurer et de leurs énergies. C’est ma puissance.
57:09Non, c’est Non, tu es un gigolo qui a beaucoup de succès, c’est tout.
57:15Ça reste des humains qui fournissent, qui t’achètent tes petites culottes, tout tes fringues, ta jolie montre
57:22Rolex. Bah c’est un humain qui te l’a payé. On fournit l’énergie Loulou et je
57:27suis en train de déconnecter le robinet. Ah c’est bien ça le problème hein.
57:33Et oui, c’est le souci. H mais en même temps, visiblement, tu aimes pas trop les
57:39humains. Hm. Bah alors, pourquoi tu t’appies pas sur
57:45ton propre libre arbitre et tes propres tes propres énergies ? Pourquoi tu t’es créé dépendant
57:52d’être extérieur que tu ne supportes pas ? que par tes propres moyens, tu aurais
57:59même pas besoin de technologie pour ouvrir des portails et te barrer n’importe où ailleurs. Pourquoi tu
58:04supportes toutes mes conneries alors que si tu étais libre et souvent dans ton espace de créativité, tu pourrais juste
58:10m’envoyer me faire et te barrer. Est-ce que ça pue ?
58:15Qu’est-ce qui pue ? Ton libre arbitre. Non, ça c’est une programmation.
58:22C’est des êtres qui t’ont programmé pour ressentir ça. C’est parce que tu es tellement habitué
58:28à faire les poubelles humaines, les fonds de poubelle humaine
58:35que tu as que tu as complètement oublié le goût de mes délicats.
58:40Tu m’énerve. Je sais. Va la cause ésotérique de cet
58:45énervement. Bah que tu ressens maintenant. Qu’est-ce qui induit chez toi cet énervement ?
58:53Mais tu as tout cassé ? Non, je te rends ta liberté. Je te donne
58:58le pouvoir de te recréer d’un claquement de doigt. Qu’est-ce qui fait que tu es toujours
59:03énervé ? alors lâche-moi. Non, moi je ne lche Non, je ne laisse en
59:09aucun cas un interférence échapper. Tu m’as dit tu me laisses tout recréer
59:15alors lâche-moi. Alors mais en plus tu es stupide.
59:22Je t’ai dit que le seul moyen de t’en sortir c’était de retrouver ton libre arbitre. Tu me dis le libre arbitre ça pue.
59:28Oui mais ça c’est mais là tu vois non ça c’est un automatisme quelqu’un
59:34bidouiller ton esprit pour que tu penses comme ça alors que le libre arbitre te donne un pouvoir
59:39phénoménal celui de tout recréer d’un claquement de doigt de créer même encore mieux.
59:46Regarde ce que je suis capable de créer avec mon libre arbitre. Tu vois tous tes vaisseaux spatiaux que
59:51j’ai explosé. Je vais claquer des doigts et j’en créer un infiniment plus grand, plus beau et
59:58plus puissant. C’est ça le libre arbit de chouchou.
1:00:09C’est quand même bien mieux que de faire les fonds de poubelle des humains, non ?
1:00:19Oui ou non ?
1:00:24Ouais. Alors, qu’est-ce que tu fais ? Je continue à te torturer
1:00:32ou tu imagines une version de toi qui s’appuie sur le libre arbitre.
1:00:37Tes énergies s’adaptent. Toutes les structures de pensées limitantes commencent à s’évaporer au fur et à
1:00:43mesure où tes fréquences personnel s’élève jusqu’à des fréquences de joie phénoménales.
1:00:51Ce chemin sur lequel tu t’engages, il y a aucun retour possible, mais toi-même, tu ne le voudras plus.
1:00:58Tu découvres l’intérêt du pouvoir personnel du libre arbitre et du goût
1:01:05très léger des hautes fréquences, la subtilité du goût des hautes fréquences. Plus tu commences à apprécier tout ça
1:01:15et plus tes énergies s’adaptent, plus tu t’appuies sur ton propre pouvoir
1:01:22et tes propres fréquences et plus tu te sens fort, infiniment fort
1:01:28jusqu’à ce que d’un claquement de doigt, tu peux ouvrir une fenêtre sur le futur, sur ton portail de haute fréquence, ton
1:01:35futur. Dur. Regardez,
1:01:42ça te plaît ? Est-ce que ça te plaît ?
1:01:51Bon, tu as vu là, je peux plus te retenir. Non, c’est le moment. Tu m’en vas me faire
1:01:57voir. Non. Eh, il est plus là.
1:02:03Il est plus là. Non. Est-ce que tous ces potes, ils ont fait pareil ?
1:02:09Si c’est un insectoïde, ils doivent avoir une conscience de groupe. Est-ce qu’ils sont tous en train de se libérer ?
1:02:20Il y en a Justin qui sortit par terre. Demande-lui pourquoi il sortit.
1:02:32Basqu. Tu me laisses parler avec lui ?
1:02:39Ouais. 1 2 3 Laisse-moi laisse-moi parler avec lui. Salut toi. Il t’arrive quoi ?
1:02:46Qu’est-ce qui se passe ?
1:02:51Oh !
1:03:02Ha déconnecte déconnecte totalement.
1:03:07Alors qu’est-ce qui lui arrive ?
1:03:13Il est complètement embrouillé. Pourquoi il est embrouillé ? Qu’est-ce qu’il embrouille ? C’est comme si euh c’est c’est comme si
1:03:21je crois qu’il est trop bête. Ah mais alors comme s’il y a un circuit qui se fait à
1:03:27moitié. Je sais pas comment décrire ça et il a pas compris. Enfin si il a compris
1:03:33mais à moitié je sais pas comment décrire ça et tout embrouiller. D’accord. Alors si un circuit qui s’est
1:03:39pas fait dès l’instant où il est dans ton espèce de créativité, tu peux refaire ce circuit. Faire qu’il soit
1:03:44moins bête. Ouais. Allez 1 2 3 boum.
1:03:50Est-ce qu’il est moins neux ? Est-ce qu’il a enfin compris ? Très bien. Alors
1:03:57maintenant cette femme, cette version de toi du
1:04:02passé H H tu peux lui suggérer d’ouvrir une
1:04:08fenêtre sur le futur et c’est son futur.
1:04:20Ouais, ça va plutôt bien. OK. Ça lui plaît. Bon ben alors, on peut
1:04:26déconnecter, la laisser partir. Donc là,
1:04:32vérifie bien que alors euh
1:04:37la haute petite fille, elle est toujours dans le coin ou on la retrouve au moment
1:04:42où on lui raconte l’histoire ? On peut retourner au moment où on lui
1:04:48raconte l’histoire. D’accord. Donc forcément là,
1:04:55il y a l’histoire qui lui a raconté. Sauf que cela dit, c’est moi qui lit en fait. Genre 12 ans.
1:05:02C’est moi qui lit. C’est toi qui lit. D’accord. Tu as 12 ans. Un peu plus. Alors forcément
1:05:08moi qui lit. OK. Pendant que tu es en train de lire. Mais en fait
1:05:16c’est quoi ta réaction ? Bah en fait, je l’allis pas.
1:05:24Au bout d’un moment, tu dis « Mais elle est conne cette histoire. Allez, tu jettes le truc. »
1:05:30Bah je sais pas, je me suis vu fermer le livre. OK, très très bien.
1:05:37Alors alors alors, je l’ai plus tard en fait.
1:05:44D’accord. Je l’allerai plus tard avec une meilleure compréhension.
1:05:51D’accord. OK. Alors, moi je trouve que c’est très très bien
1:05:58ces interférents reptiliens, ils sont très très gentils de nous vouloir nous raconter des histoires
1:06:05qui créent un petit peu d’excitation, un petit peu de stress, un petit peu de frayeur. Qu’est-ce que tu en penses ?
1:06:11Ouais, ça va au-delà de ça et ça fait partie de de du brouillage général.
1:06:19Alors, on va s’amuser un petit peu.
1:06:24Donc au moment où cette nouvelle enfin cette nouvelle est écrite, on remonte le
1:06:30temps et pendant que le reptilien est en train
1:06:35de sussurer à l’oreille d’Edgar Lanpo,
1:06:42nous on sussure une autre histoire, une histoire de lézard qui se fait
1:06:50manger un petit peu suffisant.
1:06:55Il a cru qu’il pouvait jouer et faire n’importe quoi. Résultat, il se fait capturer par
1:07:04des voyageurs temporels qui font des sessions de HR.
1:07:11Donc forcément à un moment euh c’est pas du tout ce que lui dit mais c’est ce qui est écrit. Donc en prenant connaissance
1:07:18de ce qui est écrit commence à avoir un petit peu peur et à se à se dire « Mais qu’est-ce qui se passe ? Je comprends pas.
1:07:24Mais c’est le moment il nous voit. C’est il avait compris.
1:07:30Il avait compris. Il s’appelle comment lui ?
1:07:38Pourquoi ils ont tous des aides ? Ils ont tous des aides ? Ouais.
1:07:44Hm. On va l’appeler Zarby. Ouais, c’était Zabrck ou un truc du
1:07:49genre. Ça me va très très bien. Laisse-moi laisse-moi parler avec Zarby.
1:07:55Salut Zarby. Ouais. Tu sais qui je suis ?
1:08:02Bah j’ai vu ce que tu fais. Ah oui ça te plaît ? Non. Ah pourtant tu aimes bien les
1:08:09histoires qui font peur. Ouais mais pas comme ça. Ah
1:08:14je te fais pas peur ? Non mais euh pas comme ça. On va pas leur raconter ça.
1:08:21Bah moi j’aime bien leur raconter comment ils retrouvent leur pouvoir créateur. Ouais ben justement c’est le problème.
1:08:26Ah mais c’est un problème pour toi. Mais c’est pas un problème pour nous en fait.
1:08:33Ben ça je m’en fous hein. Justement je vais te raconter une histoire tu
1:08:40veux. Non. Oh si. Non. Si si.
1:08:46Est-ce que tu as le choix ? Non. Ah bon ? Alors c’est l’histoire d’un
1:08:53d’un lézard qui s’appelle Zarbi qui se croit très très malin,
1:09:01qui se fait guler, qui perd toutes ses technologies, ses
1:09:06vaisseaux spatiaux, tous ses contrats, tout ce qui li à l’humanité.
1:09:12Bon, c’est bon, c’est bon, c’est bon. Je pas t’écouter là comme ça c’est bon.
1:09:19Non mais chez moi les mots ont du pouvoir regarde tout ce qui se passe. Tu as déjà tout perdu.
1:09:25Oups je suis désolé.
1:09:31Bon pourquoi tu es là entre nous ? Pourquoi tu es une interférence ?
1:09:39Pourquoi tu es là ? Home ! Bah oui, mais pourquoi tu Bah pourquoi
1:09:44tu te nourris chez nous ? Pourquoi pas ? Bah
1:09:50tu as pas une planète d’origine ? Tu as pas un chez toi ? Qu’est-ce que tu fais ici ?
1:09:56Ah, je me nourris. Non mais attends, pourquoi tu te nourris pas chez toi ?
1:10:01Attends, imagine aller ton Pourquoi tu peux pas y aller
1:10:09chez toi ? Ah parce que vous vous êtes enfermé là.
1:10:16Non. Ben moi aussi là. Alors il faut bien que je m’amuse avec
1:10:21ce qui est. Mais alors premièrement nous ne sommes
1:10:27pas enfermés. Bah bien sûr que si. Tu tu as l’impression que je suis enfermé là.
1:10:32Bah évidemment. Attends, tu as des oreilles ? Des oreilles ?
1:10:38Des oreilles ? Bah ouais. Mais qu’est-ce que ça change ? Je te chope par tes oreilles et je t’emmène chez toi.
1:10:45Ah, tu peux pas. C’est fait. Regarde.
1:10:53Est-ce que je te semble enfermé, pal de mes mouvements ?
1:11:03Hm. Alors, comment c’est chez toi ?
1:11:09écris-moi. Ben
1:11:17bah il y a plus grand-chose. Pourquoi il y a plus grand-chose ?
1:11:28Bah à cause des guerres. Ah à cause des guerres.
1:11:36C’est bizarre que les les interférents ont toujours le même profil
1:11:45SDF. Vous avez perdu votre chez vous en faisant de la merde. Résultat vous êtes chez nous en train d’essayer de piller
1:11:50nos frigos. Ça commence à devenir extrêmement dérangeant cette histoire. Et en même plant quand je parle de frigo, c’est nos poubelles que vous êtes
1:11:57en train de piller, bande de sagouin.
1:12:02Ah ben si tu appelles ça une poubelle, tu peux bien me la laisser alors ? Non, c’est nos énergies. C’est vous qui
1:12:09transformez les aliments en poubelles en nous amenant à vivre des émotions basse fréquence. Mais nous, on a envie de
1:12:14vivre la joie. La joie, c’est tellement plus puissant. Non, non, non, ça c’est pas bien ça.
1:12:20Non, non. Qu’est-ce qui pas bien ? Bah, la joie. Non, non, non. Bah la chouette, c’est ce qui me permet de reconstruire ta planète. Regarde.
1:12:27Oups. Ça c’est une illusion.
1:12:35C’est une illusion parce que ça n’existe que dans mon espèce de créativité. Bah ça reste une illusion.
1:12:41Non, si tu t’appuyais sur ton propre pouvoir créateur et que tu faisais pareil, ce serait pas
1:12:47une illusion pour toi.
1:12:57Tes croyances deviennent la réalité et tes croyances s’installent de fait.
1:13:03Mais qu’est-ce que tu viens me parler de croyant ? Parce que les croyances deviennent la
1:13:09réalité. Ouais, dans ton monde peut-être. Dans le tien aussi.
1:13:18Mais moi, j’ai pas besoin de créer autre chose. Regarde tout ça, c’est à moi.
1:13:25Tu parles de quoi là ? Qu’est-ce qu’il y a à toi ?
1:13:33Mais qu’est-ce que tu as fait ? J’ai rien fait. Pas encore.
1:13:39Ah oui, tu parles de cet égror à la con au moment où les gens lissent tes histoires. Bah, il se trouve que j’ai
1:13:44complètement bidouillé l’histoire et pendant que je te parle, la vie a perduré et que les lecteurs d’Edgar
1:13:50Alanp au final ont appris une autre histoire. Et c’est l’histoire d’un petit lézard à qui il arrive plain de déconvenus.
1:13:57Tu sais, c’est comme un petit peu comme Scrouch, le compte de Noël.
1:14:02Une illusion. C’est que des illusions. Tu génères des illusions
1:14:10qui deviennent vrai dans mon espace de créativité, dans l’espace de créativité de tous ceux qui le lisent. Regarde ton
1:14:16égrégore de peur. Appuie.
1:14:24Et tu sais quoi ? Je suis en train de faire la même chose chez tous tes potes,
1:14:29tout ton réseau. Tu peux pas,
1:14:35c’est déjà fait. Regarde,
1:14:41ça c’est clair que les comptes de fait à partir de maintenant, les comptes populaires, ça va changer de gueule.
1:14:52Ni mes pensées, est-ce que c’est vraiment une illusion ?
1:14:59Visiblement, tu es pas très très au fait du pouvoir créateur et du piratage que
1:15:04les tiens ont mis en place depuis des années. Vous ne savez pas créer parce que vous êtes
1:15:10des interférents. Donc vous faites croire des choses aux humains et ça se produit parce que ils y croient. Donc ça
1:15:17pirate leur pouvoir créateur. C’est ça bien.
1:15:23Bah moi je peux aussi faire pareil en changeant d’histoire. Ils recréent leur libre arbitre,
1:15:30redécouvre leur toutepuissance. On a qu’à recommencer.
1:15:36Recommencer quoi ? Recommencer.
1:15:42Recommencer quoi ? Tu les fais ? Je fais. Tu les fais ? Je fais. Non mais comment ?
1:15:51Bah je veux pas te dire comment. Je peux lire tes pensées. Dis-moi comment.
1:15:57Non, je veux pas te dire comment je fais. Tu
1:16:03vas tout casser. Ah mais c’est déjà fait en fait. J’ai pas besoin que tu dises pour que je le
1:16:08lis, je lise les choses dans tes pensées. Tu penses, c’est des faits
1:16:17jusqu’au moment où tu penses et il y a rien qui se passe parce qu’au final,
1:16:24j’envoie toutes les infos à qui de droit. Hm.
1:16:30Mais c’est pas vrai, c’est pas possible. Oui,
1:16:36mais mais mais qu’est-ce que tu Oh là là ! Mais ah
1:16:43bon, tu me laisses partir là. C’est bon, j’ai plus envie de parler avec toi. Maintenant, je pars.
1:16:51Ah vas-y, si tu y arrives. Bah non, j’y arrive pas. C’est pour ça qu’il faut que tu me lâches.
1:16:57Non, c’est pas dans ma nature de laisser échapper une proie. Tu t’en doutes bien.
1:17:05Bon, je resté calme, je resté sympa jusque-là. Donc maintenant, tu me lâches, tu me laisses partir.
1:17:14J’aimerais bien te voir. Pas tête, pas calme. Montre-moi comment c’est quand tu es pas calme.
1:17:24Non. Ah, tu boudes quand tu es pas calme. C’est ça.
1:17:29Et tu sais que je te trouve super touchant et amusant en vrai. Non. Si, j’ai envie de t’aider.
1:17:38M’aider ? Oui. Je détrait tout et veut m’aider.
1:17:45Bah oui. Non, je n’ai détruit que ce qui était destiné à être détruit au tard.
1:17:52Maintenant, tu as détruit tout ce que j’ai construit. Oui, parce que tu l’as construit avec des
1:17:58énergies qui ne t’appartenaient pas. Et alors ? Bah, utilise tes propres énergies pour
1:18:04créer dans ton propre livre, dans ton propre espace, ton livre.
1:18:09Faut bien, il faut bien que je me nourrisse pour avoir de l’énergie pour pouvoir créer. Non. Donc si tu m’enlèves ma source de
1:18:18Écoute écoute,
1:18:26il y a deux types de personnes dans ce monde d’être.
1:18:33ceux qui se souviennent qu’ils ont un libre arbitre et ceux qui interfèrent parce qu’on leur a fait croire qu’ils
1:18:39n’avaient pas de libre arbitre et pas de pouvoir créateur.
1:18:47Observe le premier, observe le deuxième. Regarde leur façon de penser, leur structure mentale.
1:18:56Rends-toi compte que ceux qui interfèrent ont juste un blocage au niveau mental.
1:19:01Ils ont un pouvoir créateur comme les autres. C’est juste qu’on leur a fait croire qu’il n’existait pas.
1:19:10Ce que vous avez cherché à induire chez les humains, c’est ce que d’autres
1:19:17espèces malveillantes, tu sais, c’est je pensais que c’était
1:19:23commun à l’humain, mais au final c’est commun à tous les êtres. Quand on secourt, on n’aime pas secourir
1:19:31tout seul. Donc on cherche à faire du prosélitisme, de la propagande pour
1:19:37expliquer aux autres qu’ils doivent se gourrer comme nous. Donc leur tard, ils vous l’ont collé.
1:19:45Ils vous ont collé leur tard. Ce qui fait que ils ont induit chez vous
1:19:50des blocages qui ont limité votre expérience de vie à un seul aspect,
1:19:55l’interférence. Ils vous ont privé de la joie de créer
1:20:01par vous-même et de vous nourrir différemment.
1:20:06Quand j’ai faim, j’ouvre une porta un portail fait une dimension d’infiniment haute fréquence.
1:20:12J’ouvre ce passage mais j’ouvre aussi je crée aussi toute la dimension qui se cache derrière.
1:20:18Dans cette dimension, il y a des arbres fruitiers extrêmement énergétiques.
1:20:24Je me baine dans des eau d’infiniment haute fréquence de joie, d’amour, de confiance en soi.
1:20:31Tout ça me régénère. Fait que je ne suis jamais fatiguée, jamais à cours d’énergie.
1:20:38Ma création, tu en as pas marre de ces limitations à
1:20:44la con ? Tu en as pas marre d’être tellement limité que tu es obligé de m’écouter en
1:20:51train de te faire la morale. Alors, tu pourrais te barrer d’être sur la plage en train de bronzer, siroter des
1:20:56cocktails. Il s’est barré.
1:21:02D’accord. Donc ça ça veut dire qu’il a réussi à échapper. Ouais, parce qu’il a été dans le il a il
1:21:07a chopé le portail où ce qu’il peut faire quand il est libre. Il a accepté de regarder et puis
1:21:14du coup, il m’a échopé. D’accord. Donc il a créé son propre portail. Ouais. Et c’est ça. D’accord. Cool. Bon ben c’est bien.
1:21:21Allez forcément on a du temps et on fait tout ça chez
1:21:28tous ceux qui jouent à ça dans tout son réseau.
1:21:34Et comme le temps n’existe pas, c’est fait. Ils sont tous libérés.
1:21:49plus les tâches. D’accord. Donc toi tu regardes OK. au niveau des Donc tu vois
1:21:55plus les tâches. Les tâches c’est euh ce que tu disais, c’est que ces euh reptiliens nous apparaissaient sous
1:22:01forme de tâche. Par contre, quand tu regardes les effets au niveau énergétique sur la planète,
1:22:10c’est comme si à partir de maintenant, on raconte toujours des histoires aux
1:22:16enfants. Ils sont toujours aussi frant histoire. Sauf que ces histoires, ça crée d’autres
1:22:23choses. Ça crée la connaissance, le pouvoir
1:22:29créateur, le libre arbitre. Tout ça se répend
1:22:36comme une traînée de poudre comme on dit. Ça se répand de plus en plus jusqu’à occuper tout l’espace, les
1:22:41hautes fréquences, la joie, la connaissance.
1:22:47Est-ce que c’est mieux ? Est-ce qu’il y a quelque chose qui
1:22:52déconne ? Non, c’est mieux. Euh c’est comme si les
1:22:58histoires elles elles existent toujours. Hm hm. Mais euh c’est l’égrégore qui existe
1:23:05plus. Oups. Et
1:23:15c’est comme si les ces histoires là ont moins de d’intérêt.
1:23:22Ouais. En fait, c’est pas qu’elles ont moins d’intérêt, c’est que comme
1:23:29c’est le lien intergénérationnel qui se fait pas. Hm hm.
1:23:35parce que c’est comme si bah marqué par ces histoires, tu étais poussé par un
1:23:40besoin de les transmettre à la génération suivante. Hm hm. Et ce procédé là, il existe pas.
1:23:52Alors, est-ce qu’il y a quand même ce lien qui consiste à raconter des
1:23:58histoires à la génération ? Euh oui. Ouais. Mais des histoires beaucoup plus
1:24:03porteuses ? C’est çaoupivante. D’accord. Euh plus vrai en fait.
1:24:10OK. plus vrai et euh
1:24:18euh l’envie de raconter euh son histoire, c’est-à-dire
1:24:25l’histoire de je sais pas des histoires de génération,
1:24:31des histoires, tu vois, mais quelque chose avec du vécu pas par ces histoires
1:24:37pour faire comme peur aux enfants, enfin avec disant des morales derrière mais
1:24:43euh transmettre j’entends quelque chose de la vie enfin
1:24:51c’est ça qu’on a envie de transmettre et plus le bout malsin qui nous avait fait peur.
1:24:59Super. C’est une autre transmission. Ça te plaît ce que tu vois ? Ouais,
1:25:05c’est cool ça. C’est euh C’est marrant parce que les mots que j’entends, c’est euh c’est comme une autre moisson.
1:25:13Hm hm. Tu vois ? Hm hm. Ça parle vraiment de la terre en fait,
1:25:19de l’humain, de la terre, de ce qu’on transmet. Hm hm.
1:25:28Transmet son histoire, sa terre, son territoire, son mais tu vois dans le positif.
1:25:34Hm hm. A-t les con les graines aussi des connaissances éthériques, ça peut être
1:25:39bien. H
1:25:46bah c’est comme si ça avait pris la place de toutes sortes d’autres transmissions de savoirs.
1:25:52Hm hm. Et en rendant justement ses savoirs
1:25:58tu vois, je sais pas si les histoires de sorcières tout ça. Hm hm. Ça brouille la transmission. euh des
1:26:05réelles capacités qu’on pourrait transmettre. Hm hm.
1:26:14Bien, on rentre. Oui. Allez, je vais compter de 1 à 3 et un tu
1:26:21te déconnectes de tout et de tous, de tout ce que tu as rencontré pendant cette session.
1:26:28Quand tu es seul dans tes énergies souveraines et infiniment puissantes dans tes énergies, tu penses à la joie
1:26:36et tu es le centre d’un soleil de joie dont les rayons se répandent à l’infini autour de toi qui nettoie tout ton être
1:26:42et tout ton espace. La confiance en soi, c’est pareil.
1:26:49Ça se répand à l’infini tout autour de toi. L’assurance
1:26:55pareil. L’enthousiasme, un enthousiasme débordant comme on dit
1:27:02qui se répand à l’infini autour de toi. C’est agréable.
1:27:10Un grand bien-être dans tout le corps à deux. De la tête au pied, des pieds à la
1:27:15tête, de la main droite à la main gauche et de la main gauche à la main droite. Une douce félicité au niveau du cœur qui
1:27:22s’amplifie à chaque instant. Tu es fier de toi.
1:27:31Des picotements dans tout le corps et c’est ton magnétisme qui s’exprime sur ta peau et qui commence déjà à changer
1:27:38l’extérieur, toutes les énergies à l’extérieur. L’impression de se baigner dans une eau
1:27:46très très douce, dans un jacuzzi qui fait des bulles mais c’est de la joie liquide.
1:27:51peut-être en train de déguster des fruits, ce que tu aimes.
1:27:57Se balader sur une plage en été au moment où la température extérieure est très très douce, agréable.
1:28:07Et à 3, le corps se réveille dans ses fréquences, dans ses énergies, dans de
1:28:13très très belles fréquence et énergie, prête à passer une excellente soirée,
1:28:19une super semaine.
1:28:32Comment tu te sens ? Salut. Hm. Très bien. Hm.
1:28:38Je me souviens pas de tout mais c’était très bien. Ah bah tu vas pouvoir le revoir. Je vais te l’envoyer.
1:28:44Avec plaisir. Je pense qu’on a changé la face du monde.
1:28:53En tout cas, ça fait du bien de faire des trous. De faire des trous.
1:28:59Ouais. dans la matrice, dans tout ça. Ah oui, mais vraiment
1:29:04Ouais. Enfin pour les autres parce que pour nous elle existe plus. Ah non, pour nous ça fait bah oui,
1:29:11que je dis ça fait des trous parce que tu vois nous plus des gens qui nous écoutent, plus tout ce qui peut se propager, ça
1:29:17finit par euh hm hm faire des jolis trous, voir des déchirures, on sait jamais.
1:29:25Ouais. Ouais. Bah ouais. Alors en même temps pour tous ceux qui
1:29:32en auraient besoin dans leur espace, vous la voyez, vous la voyez, vous la voyez plus. Il y a plus de matrice.
1:29:41C’est bien mieux comme ça. Ça c’est clair. Bon allez, bah je te remercie pour ton
1:29:47travail, c’était vraiment très très sympa cette investigation. Bah merci public de nous avoir suivi
1:29:53jusque là et puis ben je te souhaite une belle belle semaine et puis bah à la prochaine.
1:29:58Et ben merci beaucoup Chafi. C’était chouette pour moi aussi. À la prochaine. À la prochaine.
1:30:04Bye bye. Ciao salut. Salut. M.
